Balade pour V'Wirbel
Quatre saisons ont passé
Et mon cœur meurtri
N’ a pas su t’oublier…
A l’ aube sous la rosée chatoyante
Renaissent pâquerettes et boutons d’ or
Le soleil de ses rayons, en bon ouvrier,
Colore la brume d’ une lumière flamboyante.
Quatre saisons ont passé
Et mon cœur meurtri
N’ a pas su t’oublier…
De mes yeux rougis s’écoulent doucement
Quelques larmes caressant mes joues
Mon regard te cherche, inquisiteur,
Toi qui m’ inonda d’ un apaisant bonheur…
Quatre saisons ont passé
Et mon cœur meurtri
N’ a pas su t’oublier…
Un léger souffle soulève la poussière
Tournoyante, telle une tornade d’averse,
La vie est là cachée derrière un grand mystère…
V’Wirbel, ma Belle, Noble et Fière,
La nature en son sein désormais te berce.
Quatre saisons ont passé
Et mon cœur assagi
Ne saura pas t’oublier…
Cécile